jeudi 27 mars 2008

Samedi 26 Janvier

Nous passons une heure d'Internet matinal pour consulter nos messages et répondre aux amis qui pensent à nous de l'autre côté du monde. Pour un euro, nous avons droit à 130 minutes et Lucile commence à maîtriser le clavier thaï.

Nous retournons, à pied, voir le musée du Sergent Tawnee, consacré au folklore paysan traditionnel: reconstitution de pièces d'habitation légère, en bambou, objets et ustensiles variés de la vie courante d'autrefois: paniers, nasses, pièges à nuisibles. Mais aussi il y a tous les éléments d'une maison bourgeoise, coiffeuse, vaisselle de porcelaine et d'argent, pendules, lampes à pétrole, machines à écrire. Tous ces objets sont disposés de la façon la plus naturelle possible dans de petits pavillons de bois sur pilotis, fenêtres ouvertes aux rideaux brodés voletant dans la brise venue des jardins aux plantes somptueuses. Des suspensions partout, plantes graciles s'écoulant de grosses coquilles d'escargots, mobiles aux sonorités cristallines, des bassins partout, aux carpes colorées. Tout est paisible, merveilleux.

Nous trouvons, juste à côté un restaurant dans un joli jardin, bien tentant. Malheureusement on n'y sert que de la cuisine européenne, ou prétendue telle : bœuf, poulet, porc, poissons et frites.

En face nous visitons la fonderie de bouddhas, où un jeune guide nous accueille tout sourire. Son anglais nous est totalement incompréhensible et nos questions le laissent perplexe! Grâce aux photos, nous comprenons que la fabrication se fait à la cire perdue.

Nous passons la dernière soirée à Phitsanulok avec nos amis au marché de nuit, le long de la rivière.

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